Les habitants de Chocques s'appellent les Chocquois.
Chocques est traversée par la Lawe.
LA RUE DE LILLERS
LA RUE DE LILLERS
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| On y voit l'estaminet GALLET ROSE Albertine sur la gauche |
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| une pharmacie à gauche |
LA RUE DE LA GAITE
LA RUE DE BÉTHUNE
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| rue de la Poste avant |
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| Rue Nationale |
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| 1914 - Passage des soldats écossais (Photo trouvée sur Delcampe)© IWM (Q 82569) |
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| G. LEFEBVRE, Photographe Sur la gauche, au fond, la minoterie DUBAR |
LA RUE D'EN BAS
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| Place du village (rue d'en bas à gauche et vers le bureau de poste à droite) |
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| L'estaminet du commerce à droite, photo prise en face de la rue d'en bas |
LA RUE DE LA GARE
LA ROUTE NATIONALE
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| La poste sur la droite |
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| Rue Nationale, vers Béthune |
LA GRANDE RUE (actuellement Rue Principale)
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| Estaminet de la Réjouissance PENEL/LEGAY sur la droite |
LA ROUTE DE GONNEHEM
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| Brasserie PARENT à gauche |
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| Brasserie PARENT au fond |
LE CROQUET
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LA MAIRIE
L’ÉGLISE
"L’église paroissiale, incendiée en 1813, partiellement reconstruite en 1815 et 1842, comprend une nef à bas-côtés et un chœur.
Ce dernier, œuvre du début du XIIe siècle dont on refit de nos jours les colonnes et les voûtes, n’est autre que l’ex-carré d’un transept dont les croisillons disparurent je ne sais quand, ainsi que l’ancien sanctuaire.
La nef appartient au XVIe siècle ou au XVIIe – sauf ses voûtes montées vers 1893 –, le collatéral nord au XIXe siècle ; le collatéral sud, peut-être contemporain de la nef, semble néanmoins remonter au XIIe ou XIIIe siècle. La façade ouest fut bâtie au XIe siècle dans sa partie inférieure ; le reste, y compris la totalité du portail, fut ajouté vers 1200, sauf les assises supérieures qui accusent la fin du XVIIe ou le XVIIIe siècle" (Source : Pierre HELLIOT Églises du Moyen-Age dans le Pas-de-Calais, Commission départementale des Monuments historiques du Pas-de-Calais, tome VII, fascicules 1 et 2, 1951-1953, « Arras » p. 372.)
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| avec le cimetière autour |
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| Sur le mur de l'église à l'extérieur Monsieur Charles HURTREL Notaire Honoraire Décédé à Chocques le 15 novembre 1883 et sa veuve Célina CUVELIER Décédée le 20 avril 1900 |
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| Ici reposent les corps de Monseigneur le Chevalier de RAISMES Chevalier de l'ordre Royal et Militaire de Saint Louis décédé le 26 juillet 1825 âgé de 90 ans (né à Saint Omer / habitait l'Abbaye de Chocques) Melle Julie de VERDIERE Célibataire décédée à Chocques le 26 septembre 1806 (à l'âge de 64 ans)
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LES CAFÉS / BRASSERIES
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| Café BOURDON/BREUVART |
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| Café LARIDAN |
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| Café DUFOUR-DUFOSSE Brasserie PARENT La Béthunoise |
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| Etablissement P.STEVEN |
CAFÉ NICOLE : "Meurtre d'un contremaître" http://www.genealogiepresseancienne.com/2020/08/chocques-meurtre-dun-contremaitre-au.html
Brasserie PARENT
5 rue de Gonnehem à Chocques - Ensuite ce fut PARENT-BELIN puis BRACQ
LA GARE
LES CHÂTEAUX
5 rue de Gonnehem à Chocques - Ensuite ce fut PARENT-BELIN puis BRACQ
"De source orale la brasserie-malterie aurait été fondée dans la deuxième
moitié du 19e siècle par la famille Parent. En 1927 elle porte le nom
de PARENT BELIN, puis de BRACQ après 1930. L'activité cesse pendant la
Seconde Guerre mondiale et la brasserie est convertie en dépôt de
boissons. Actuellement l'établissement est désaffecté.
En 1927 la brasserie produisait de la bière en fermentation haute
conditionnée en bouteilles."
Le mariage PARENT / BRACQ en 1922 : http://www.genealogiepresseancienne.com/2023/05/chocques-importante-celebration-dun.html
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| Brasserie HAVIEZ |
Point historique : En 1852, dans l'arrondissement, il y avait 15 distilleries, il en restait 8 un siècle plus tard. Celle de Chocques est une des plus importantes. 82 brasseries dans le Béthunois.
La ville de Chocques avait 3 brasseries qui faisaient travailler environ 100 ouvriers : Brasserie PARENT (rue de Gonnehem), Brasserie BONNEL (dans le centre près du Crédit Agricole), Brasserie HAVIEZ (rue de Lillers)
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| Vins et Spiritueux en gros |
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L'activité industrielle était importante : 6 auberges, 58 cabarets, 5 épiceries où l'on sert à boire, 3 débits de tabac. Ces établissements étaient très fréquentés par employés des mines, des brasseries, du moulin, de la centrale électrothermique à partir de l'année 1925 et de l'usine Air Liquide un peu plus tard. (Source : "Mémoires en images, le Béthunois" par Gérard LECLERCQ
LA GARE
LES CHÂTEAUX
Selon l'ouvrage sur "Béthune", de E. BOYAVAL, une forteresse existait au XIIème siècle mais elle fut détruite au XIIème siècle, qui tient cette information d'un ouvrage cité par Roger.
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| Château Saint-Sauveur - Construit au XIXème siècle Appartient à Mr BRUNIT (Capitaine en retraite) jusqu'en 1854 puis du marquis Emmanuel de Bassecourt / ensuite différents propriétaires rentiers Mr. Beaugrand, Mr. Delbecque, Mr Fillette, Lecouffe-Pottiez, Lecouffe-Tourneur, Pasqueusenne et Mme Veuve Ducroquet. Le château Saint-Sauveur est actuellement la mairie de Chocques |
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| Château de Mr LECOUFFE Acte de décès de Louis Augustin Marie Eloi LECOUFFE propriétaire et ancien notaire Mr Lecouffe avait un atelier de machines agricoles (cité dans l'annuaire des châteaux et desd villégiatures en 1906/1907) et avant lui, le propriétaire était Mr LEBLOND Aujourd'hui, c'est le docteur BERNARD qui y vit et reçoit ses patients (sur le côté gauche du château) | |
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| Château de l'Abbaye Edifié en 1754 A brûlé dans son intégralité après le décès de Mme CAMPION en 2005 |
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| Abbaye Saint-Jean-Baptiste-des-Près |
Selon une enquête menée par Antoine de SUCCA le 6 janvier 1602, les origines de l'Abbaye sont imprécises. Un Chapitre de chanoines fut fondé vers 1094 dans le bourg de Chocques. Entre 1120 et 1138, ils s'installèrent en dehors du bourg sur une terre donnée par le Comte de Flandres (à cause de la destruction de leur collégiale par Robert de Normandie). Ils adoptèrent la règle de Saint-Augustin et devinrent des chanoines réguliers.
L'abbaye fut plusieurs fois dévastée durant les guerres (XIV et XV siècle) puis de nouveau fin XV et début XVI. C'est à ce moment-là que le chœur de l'église fut reconstruit.
Les pillages et destruction reprirent en 1592, durant le XVII siècle et en 1710.
Les biens et les bâtiments furent vendus le 16 octobre 1791, après la Révolution.
(Source : Mémoriaux d'Antoine de SUCCA / Folios 38 et 39 / Page 138)
LE PARC
LES ÉCOLES
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LA MINOTERIE DUBAR
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| Elle n'existe plus aujourd'hui, l'immeuble a été rasé et des logements vont être créés |
LE MOULIN
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| A.F. Béthune |
LES MINEURS
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| Les mineurs devant la gare de Chocques |
LE PASSAGE A NIVEAU
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| Dépôt à Charbon - Passage à niveau |
LA POSTE & LE BUREAU DE TABAC
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| Il n'y a plus de bureau de poste depuis que la mairie a décidé de le fermer. Le tabac qui est à côté prend en charges vos colis et fait les affranchissements |
USINE CENTRALE ET ÉLECTRIQUE
SOUVENIR DU BOIS DE CHOCQUES
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| Personnes non identifiées 1 août 1909 d'un statut social élevé (si on peut juger par les vêtements) |
LE MOULIN
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Pour aller plus loin, voici des articles :
► Sur les maires de cette ville.
► Une photo de 3 soldats de Chocques
► 2 victimes de guerre pendant la seconde guerre mondiale
► Mémoriaux d'Antoine de Suca (mention sur Chocques page 174 du pdf et page 138 du livre)
👉 Photo de familles Jean-Marie BREUVART
Merci pour ces jolies cartes postales de Chocques une ville très riche en commerces autrefois
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